Riga est une métropole dynamique, en pleine évolution qui n'a rien à envier aux autres capitales. Et, si on peut voir la misère au coin de la rue - de vieilles femmes tendent la main en se cachant le visage ou des hommes cherchent de la nourriture dans les poubelles - les rues sont prises d'assaut par de grosses cylindrées. Londres excepté, je n'ai jamais vu autant de Bentley, Mercedes, Audi et autres Porsche.
Riga n'oublie pas les amatrices de shopping qui seront comblées avec de beaux centres commerciaux modernes où se côtoient des grandes marques occidentales et des fabrications locales.
Une découverte, la marque polonaise Reserved - des créations originales et une qualité type Zara.
L’Académie des Sciences, œuvre de l’architecte russe Lev Rudnev. Lors de son achèvement en 1956, le building en béton était l’un des plus élevés au monde.
Le marché central (Centraltirgus) quotidien, aménagé dans des anciens hangars à zeppelins reçoit les visiteurs depuis 1930.
Au marché au poisson, les consommateurs ont l'embarras du choix : fumés, salés, séchés ou frais
Le marché est approvisionné par plus de 1.000 marchands.
Le marché se prolonge à l'extérieur
L’ex-KGB, appelé "le Buiding du Coin", à l’angle des rues Brĩvĩbas et Stabu, est ouvert au public.
C’est depuis cet endroit, durant l’occupation soviétique, que des officiers ont torturé des prisonniers lettons et organisé des déportations vers la Sibérie.
C'est un lieu symbolique et chargé émotionnellement. Chaque famille ou presque est liée à cet endroit.
Pour l’instant, le bâtiment a été laissé dans son état d’origine.
Laissez-passer
Dans la plupart des pièces, on trouve du papier peint décrépi, des traces d’humidité, des micros placés dans les murs, un éclairage blafard.
Il accueille parfois des expositions
Au sous-sol du bâtiment s’alignent les cellules des anciens prisonniers et déportés.
Un autre lieu chargé d'émotions, le Musée des occupations qui ressemble à un bunker. On y trouve des photos, des coupures de presse, du mobilier… qui racontent les occupations nazies et soviétiques subies durant plus d’un demi-siècle (1940-1991).
Riga est restée une ville proche de la nature. Elle est dotée de nombreux parcs ce qui la rend dense par la concentration de ses bâtiments et aérée par ses coins de nature où l'art n'est pas oublié.
Que ramener de Riga ?
De l'ambre dont la production locale est appréciée depuis des siècles.
Du tricot : gants, bonnets, gilets avec les dessins locaux caractéristiques
Le baume noir de Riga (letton : Rīgas Melnais balzams) est produit à partir de nombreux ingrédients naturels mélangés à de la vodka pure pour faire une boisson titrant jusqu'à 45°. Il peut être consommé pur, mélangé avec du schnaps, de l'aquavit, de la vodka, chaud avec du thé, du café ou du jus de cassis, mélangé à de l'eau gazeuse, un soda ou encore incorporé à des cocktails. La boisson est noire et amère avec une douceur caractéristique.
Des chocolats
Des produits cosmétiques de chez Madara ou Stenders
On se retrouve demain pour la suite du voyage...
Que ramener de Riga ? .....heuuuuu , je sèche par élimination cosmétique ^+^
RépondreSupprimerTu fais comme moi, tu ne ramènes rien.
SupprimerNous avions acheté du Balsam mais on avait oublié qu'on devait le mettre en soute donc on l'a donné à un mendiant.
Sauf qu'il n'y avait pas assez de place pour les bagages et qu'on les a quand même mise en soute.
C'est bête :(