1. Nous sommes partis tôt pour être là dès l'ouverture et surtout avoir une place pour se garer. Oui, les places sont chères car gratuites et il y a un monde fou à midi. Autant oublier les samedis après-midi et plus encore en période de soldes.
2. Grâce à l'ami GPS on arrive très facilement contrairement à ce que disent de nombreuses critiques lues sur Internet. Anecdote perso, nous sommes passés par Templeuve, objet d'une de mes expressions favorites "Du côté de Templeuve". Maintenant au moins, je saurai où ce village se situe !
3. L’Usine Roubaix c'est un grand centre de 85 boutiques de marques à prix discount, crée en 1984 et premier centre de magasins d’usine en Europe... Cela permet de faire des économies sur les vêtements, les chaussures, les bijoux, l'art de la table, le linge de lit, les bouquins... mais pas toujours. Méfiez-vous, certaines boutiques ne jouent pas le jeu du discount de base.
4. L'Usine est un complexe vraiment sympa dans une véritable usine textile réaménagée. Le bâtiment est un véritable château industriel en briques et cheminée, au cœur de la ville de Roubaix, ville autrefois renommée pour son activité textile. On est loin de Main street à la Disney de Macarthurglen. Mias tous les goûts sont dans la nature !
5. Côté enseignes, s'il y a quelques boutiques de créateurs, la majorité sont de prêt-à-porter à des prix moyens voire prix bas. Certains articles présentent de petits défauts, d'autres sont des fins de série... et le tout est économique.
6. Période de soldes en ce mois de juillet donc période de bonnes affaires. 50% d'un prix bas, ça donne une jupe à 4 euros et un pull à 5. La marinière Armor Lux à 17 euros, c'est cadeau ! J'ai évidemment adoré, la boutique de livres à prix cassés.
7. Une petite faim ? Des restaurants et autres pauses gourmandes sont à disposition avec en prime du wi-fi pour les accros aux téléphones portables.
9. Usine Roubaix
228 avenue Alfred Motte
59100 ROUBAIX FRANCE
Tél. : 03 20 83 16 20
Du lundi au samedi : 10:00 h à 19:00 h
Dommage de ne pas ouvrir 363 jours par an et dans des tranches horaires plus larges. La France continue à s’encroûter dans des diktats syndicaux. La reprise passe aussi par la perte de soi-disant "droits acquis" qui étranglent la libre entreprise. C'est malheureusement pareil en Belgique... mais tout va se payer cash un jour ou l'autre. Nos dirigeants n'ont de perspective que pour leurs intérêts personnels.
10. Nous y reviendrons certainement. Accueil en boutique +++. On oublie Maasmechelen et son accueil peu chaleureux.
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