Une semaine déjà que je vis à l'air de Montréal. Le temps a passé vraiment trop vite même si j'essaye de suspendre son vol comme le poète et que mes insomnies me permettent de lire le temps qui passe sur le plafond de notre chambre. Non, je n'ai pas fumé du pot ;))) C'est seulement le réveil qui lance ses données au plafond : heure et température extérieure. Ce matin, 5 degrés de moins qu'hier et un vent assez soutenu qui fait chanter les feuilles des arbres de la rue et tintinabuler les carillons d'extérieur. J'ai dormi trois heures à peine et tenté une première sortie hors de ma chambre à trois heures du matin. Billy la Patate, le chat de la maison ne l'entendait pas de cette oreille et il s'est mis à miauler. Je ne voulais vraiment pas réveiller les bienheureux qui rêvent aussi je me suis recouchée avant une nouvelle tentative qui semble cette fois couronnée de succès.
Hier il a fait chaud, très chaud avant qu'un orage violent - mais sans dégâts pour ce qui nous concerne - ne vienne rafraichir l'atmosphère. MétéoMédia semble indiquer qu'il ne pleuvra pas aujourd'hui mais peut-on s'y fier ? Stéphane dit qu'ils sont seulement capable de donner l'heure du lever et du coucher de soleil. Le lever était à 5.06 soit il y a quinze minutes.
Nous avons été invités chez Anne-Marie, la sœur de Stéphane pour un succulent spaghetti et un délicieux gâteau. C'était vraiment agréable un "souper de famille" avec la mère et trois de ses enfants. C'est dans ces moments là que je regrette d'être fille unique mais aussi d'avoir la mère que j'ai. Pas chanceuse à la loterie, on ne peut pas tout avoir.
Voilà quelques pensées en direct de Montréal.
A demain, si vous le voulez bien.
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