Nous quittons Arequipa
non sans passer devant son "marché au travail". Des hommes louent leurs services à la journée pour les travaux des champs. Ils ont parfois fait de nombreux kilomètres sans être assurés d'être embauchés.
Première halte aux carrières blanches d'Arequipa d'où l'on extrait les briques et blocs de lave pour construire maisons et églises.
Tout et partout est bon pour faire du commerce.
Sommets enneigés et traversée de la steppe désertique
Parc National de Salinas et Aguada Blanca où l'on trouve des troupeaux de vigognes.
Un peu plus loin, c'est un troupeau d'alpagas que nous rencontrons.
Point d'altitude ; 4528 mètres. Le souffle est un peu court et la température a sensiblement dégringolé.
Au points de vue, les marchands offrent aux touristes leurs créations : écharpes, bonnets, sacs...
Surprise à 4444 mètres... des flamants roses.
Étrange construction moderne dans un environnement assez hostile. Les universités sont riches des très chers minervals que paient les étudiants. Faire des études, c'est s'endetter pour de nombreuses années. Les tentes bleues servent des repas peu chers.
Puno "ville sans charme" disent les manuels mais quand même située à 3827 mètres sur les rives du lac Titicaca. Dans notre groupe, l'état de santé de certaines personnes a rapidement décliné à cette altitude.
Temps libre pour permettre à notre corps de s'acclimater. Demain nous ferons connaissance avec le lac.
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