Poche: 216 pages
Editeur : Le Livre de Poche (10 juin 2015)
Collection : Littérature et Documents
Langue : Français
KARINE LAMBERT, photographe à l'affût des vérités essentielles que peut révéler un cliché, s'est prise – aussi – au jeu de l'écriture. L'Immeuble des femmes qui ont renoncé aux hommes est son premier roman. Karine est belge et habite Bruxelles.
Quatrième de couverture (Le livre de Poche)
Cinq femmes d’âges et d’univers différents cohabitent dans un immeuble parisien. Elles ne veulent plus entendre parler d’amour et ont inventé une autre manière de vivre. L’arrivée d’une nouvelle locataire va bousculer leur équilibre. Juliette est séduite par l’atmosphère chaleureuse de cette ruche, à un détail près : l’entrée est interdite aux hommes. Va-t-elle faire vaciller les certitudes de ses voisines ou renoncer, elle aussi ? Ce roman vif et tendre oscille entre humour et gravité pour nous parler de la difficulté d’aimer, des choix existentiels, des fêlures des êtres humains et de leur soif de bonheur. On s’y sent bien.
Un roman féminin en diable et joliment désenchanté qui permet de comprendre les filles d’aujourd’hui… un peu. Figaro Madame
Un hymne à la vie. Femme actuelle
Prix Saga Café 2014 - Meilleur premier roman belge.
Je dois bien l'avouer, j'ai eu du mal à entrer dans l'histoire et j'ai failli renoncer à de multiples reprises. Cinq jours pour un livre de 216 pages, c'est du jamais vu. L'idée de départ pourtant était excellente : un immeuble habité seulement par des femmes, qui ont renoncé aux hommes chacune pour une raison différente en fonction de leur personnalité et de leur histoire - SAUF que cette renonciation est un leurre : les hommes sont partout et la fin tellement prévisible. Ce n'est pas une grande page de littérature ni dans le fond, ni dans la forme. A lire dans un train, quand il n'y a vraiment rien d'autre à faire !
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