Elle est située au pied de la colline de Cointe, à l'origine à l'emplacement de l'ancien couvent des Guillemites en référence aux religieux de l’ordre de Saint-Guillaume. Le quartier porte ce nom usuellement, puis celui de quartier des Guillemins. Le nom de la gare de Liège-Guillemins est aujourd'hui la seule trace de ce passé.
Nous décidons de commencer notre tour des expositions par La Boverie donc direction la Tour Paradis, (Tour des Finances de Liège, un immeuble de 118 mètres (136 avec l'antenne), immeuble le plus haut de Wallonie qui abrite les quelque 1 100 fonctionnaires des finances.)
"La Belle Liégeoise" , la nouvelle Passerelle qui relie le quartier des Guillemins et le parc de la Boverie qui doit son nom à l’héroïne féministe Anne-Josèphe Théroigne de Méricourt (née à Marcourt en 1762 et décédée à Paris en 1817). La passerelle vise à créer une liaison cyclo-pédestre entre le quartier des Guillemins et le parc de la Boverie. Cet ouvrage s'inscrit dans le cadre de la dynamisation urbaine et de l'attractivité du territoire du quartier de la gare TGV de Liège.
Vue sur le Palais des congrès, situé dans le parc de la Boverie, au bord de la Meuse. Construit entre 1956 et 1958, il est l'œuvre du groupe d'architectes l'Équerre.
du jet d'eau du bout de l'île de la Boverie
d'une volière
La légende - Oeuvre du sculpteur liégeois Joseph Rulot (1853-1919), cette pièce devait faire partie d’un ensemble monumental en l’honneur de la mémoire du poète wallon Nicolas Defrêcheux (1825-1874). Elle et sculptée dans la pierre à partir d’une maquette de Rulot, elle fut acquise par la ville de Liège en 1956 et installée à son emplacement définitif au milieu des années 1960.
Pour finalement parvenir à La Boverie, un musée liégeois qui a ouvert ses portes en mai 2016. Le musée est installé dans l'ancien Palais des beaux-arts de Liège de l'Exposition universelle de 1905 situé dans le parc de la Boverie.
Mauvaise nouvelle - les photos sont interdites.
Ceci n'est pas une peinture :)
L'exposition "En Plein Air" a été conçue à partir des collections de plus de 40 institutions européennes et américaines : Musée du Louvre, Museo del Prado, Dallas Museum, Musée de l’Orangerie... et des collections du Musée des Beaux-Arts de Liège et organisée en collaboration avec le musée du Louvre pour refléter l’ouverture du musée sur le parc qui l’entoure.
À travers un parcours chronologique de près de 100 œuvres, l’exposition étudie la naissance et l’essor progressif de la peinture réalisée en plein air, du 18e siècle à aujourd’hui, et qui a coïncidé avec la mise en scène de nouveaux plaisirs du monde moderne : promenades, loisirs, âneries, vacances...
Également qualifée de peinture « sur le motif », cette pratique reflète la volonté du peintre d’exprimer sa spontanéité, sa liberté et ce lien qu’il ressent entre lui-même et la nature.
Les œuvres de grands noms de la peinture tels que Monet, Cézanne, Matisse, Picasso ou encore Léger, viendront témoigner de ce courant qui a profondément influencé la manière de concevoir la peinture.
Vue sur la roseraie
Le « Second Martyr de la Pieta », une oeuvre de Johan Muyle constituée d’une chèvre empaillée, dont les pattes arrière sont coincées sur une chaise roulante, a été conçue par l’artiste comme « une réflexion sur notre monde mécanisé, déshumanisé, et rentabilisé… privé de spontanéité et de liberté, le propre de l’animal ».
Les violons verts violent aussi bien que les violons noirs - E. L. T. Mesens (Édouard Léon Théodore Mesens), né dans le vieux quartier de Saint-Géry à Bruxelles le 27 novembre 1903 et mort à Bruxelles le 13 mai 1971 Huile, gouache et collage sur toile. 1965 Dimensions cm.32x44h.
On quitte l'exposition, Retour sur la passerelle.
Pour retrouver la gare des Guillemins où se déroule l'autre exposition à notre programme du jour... mais ce sera pour une autre fois...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire