Tecktonik (souvent abrégé en TCK) est une marque déposée et protégée depuis 2002. Par extension, Tecktonik définit également une danse basée sur des mouvements atypiques adaptés au rythme de la musique hardstyle.
Elle s'est faite connaitre sur Internet par le biais de sites communautaires.
Les soirées Tecktonik Killer ont été organisées en 2000 par Cyril Blanc et Alexandre Barouzdin (membres de l'équipe artistique du Metropolis) dans le cadre de leur projet, "Tecktonik Events", dont le but était de promouvoir en France deux styles musicaux issus de Belgique et des Pays-Bas : le hardstyle et le jumpstyle. Ce projet prévoyait, pour le Metropolis, la création de trois types de soirées où devaient se réunir des Disc Jockey du domaine du hardstyle : les soirées Blackout, les soirées Electro Rocker et les soirées Tecktonik Killer. Depuis la danse connait un succès croissant et se diffuse largement en dehors de France.
Tecktonik ne désigne pas un style de musique électronique mais certaines soirées du club Metropolis, la danse qui y est pratiquée, les compilations produites sur la base de ces soirées, une marque vestimentaire, une boisson, et le phénomène de popularisation de tout ce qui précède par le biais de rassemblements dans la rue et de vidéos disponibles sur internet
Marque déposée Kèsako ?
« L'article L. 711-1 du code de la propriété intellectuelle dispose que : « La marque de fabrique, de commerce ou de service est un signe susceptible de représentation graphique servant à distinguer les produits ou services d'une personne physique ou morale.
Peuvent notamment constituer un tel signe :
Les dénominations sous toutes les formes telles que : mots, assemblages de mots, noms patronymiques et géographiques, pseudonymes, lettres, chiffres, sigles ;
Les signes sonores tels que : sons, phrases musicales ;
Les signes figuratifs tels que : dessins, étiquettes, cachets, lisières, reliefs, hologrammes, logos, images de synthèse ; les formes, notamment celles du produit ou de son conditionnement ou celles caractérisant un service ; les dispositions, combinaisons ou nuances de couleurs. »
Pour ce qui est de la danse, ne cherchez pas plus loin voyez ici l'inventeur des mouvements !!!
Crédits : sr Dreaming of Spring qp
Merci à mon modèle préféré :)
Crédits : sr heart to heart qp1
Promenade en amoureux d'une fille avec son père :)
Crédits : VictorianLaceEaster QP
Je ne me lasse pas d'admirer la coupole de verre des Galeries Farfouillettes comme j'aime à les appeler.
Pensée du jour
Dicton météorologique du jour
La sainte-Mélanie,
De la pluie en veut mie
Proverbe du jour
Ce n'est pas ce qui est beau qui est cher ; c'est ce qui est cher qui est beau.
Proverbe yiddish
Quote of the day
Au cinéma hier soir : Rabbi Jacob
Film de Gérard Oury avec Louis De Funès, Claude Giraud, Suzy Delair,...
Victor Pivert, un industriel français catholique comme il faut, irascible et raciste, se prépare à marier sa fille Antoinette au fils d'un général. Un vendredi soir, alors qu'il rentre à Paris avec son chauffeur Salomon, dont il découvre avec stupeur qu'il est juif, il est victime d'une sortie de route. Resté seul après avoir congédié son employé qui refusait de travailler durant le Shabbat, Victor Pivert part chercher de l'aide, et aboutit dans une usine de chewing-gum. Il assiste inopinément à un règlement de comptes entre les membres d'une police d'État d'un pays identifié comme « arabe » et un dissident politique, Mohammed Larbi Slimane, que ces derniers veulent éliminer. Slimane parvient à s'échapper et entraîne, malgré lui, Victor Pivert que la police française prend pour un dangereux criminel et par la police secrète du pays arabe menée par le sinistre Farès. Victor devient l'« otage » de Slimane et cherche à quitter Paris. Pour échapper à leurs assaillants, les deux hommes, à l'aéroport d'Orly, empruntent les habits et de deux rabbins hassidiques new-yorkais venus à Paris pour la Bar Mitzvah du neveu de Rabbi Jacob. Ils se retrouvent alors entraînés dans une cérémonie juive dans la rue des Rosiers.
Histoire drôle
C'est le jeune Isaac qui va trouver son patron et qui lui dit:
- Je ne peux plus travailler chez vous. Tous vos employés sont antisémites!
- Quoi?! Qu'est ce que vous racontez-la?! Qu'il y en ait un ou deux, je veux
bien, mais pas tous!
- Si je vous dit qu'ils sont tous antisémites!!! D'ailleurs j'ai fait un test...
Je leur ai tous posé la même question, et ils ont tous fait la même réponse! Ils
sont tous antisémites, j'vous dit!!
- Mais c'est quoi cette question????
- Je leur ai demandé ce qu'ils penseraient si on exterminait tous les juifs et
tous les coiffeurs...
- Les coiffeurs!?! Pourquoi les coiffeurs???
- Ben, vous voyez, vous aussi!
Bon samedi
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