lundi 29 juin 2015
La mort s'invite à Pemberley - P. D. James
La mort s'invite à Pemberley
P. D. James
Broché : 436 pages
Editeur France Loisirs
L'auteure ; P. D. James
Phyllis Dorothy James dite, P. D. James est née le 3 août 1920 et morte le 27 novembre 2014 (à 94 ans) à Oxford. Elle est devenue célèbre grâce à ses romans policiers. Son premier roman, Cover Her Face (À visage couvert), paraît en 1962, son dernier Death Comes to Pemberley (La mort s'invite à Pemberley) en 2011. Elle a par ailleurs exercé diverses fonctions à la section criminelle du ministère anglais de l’Intérieur jusqu’en 1979.
Elle obtient le grand prix de littérature policière en 1988 pour son roman A Taste for Death (Un certain goût pour la mort). Elle est anoblie en 1990 par la reine, qui la fait baronne James of Holland Park.
Quatrième de couverture :
Rien ne semble devoir troubler l’existence ordonnée et protégée de Pemberley, le domaine ancestral de la famille Darcy, dans le Derbyshire, ni perturber le bonheur conjugal de la maîtresse des lieux, Elizabeth Darcy. Elle est la mère de deux charmants bambins ; sa sœur préférée, Jane, et son mari, Bingley, habitent à moins de trente kilomètres de là ; et son père adulé, Mr Bennet, vient régulièrement en visite, attiré par l’imposante bibliothèque du château. Mais cette félicité se trouve soudain menacée lorsque, à la veille du bal d’automne, un drame contraint les Darcy à recevoir sous leur toit la jeune sœur d’Elizabeth et son mari, que leurs frasques passées ont rendu indésirables à Pemberley. Avec eux s’invitent la mort, la suspicion et la résurgence de rancunes anciennes.
Un roman qui enchantera les nombreux admirateurs de Jane Austen et comblera ceux de P. D. James.
Dans La mort s’invite à Pemberley, P.D. James associe sa longue passion pour l’œuvre de Jane Austen à son talent d’auteur de romans policiers pour imaginer une suite à Orgueil et Préjugés et camper avec brio une intrigue à suspense. Elle allie une grande fidélité aux personnages d’Austen au plus pur style de ses romans policiers, ne manquant pas, selon son habitude, d’aborder les problèmes de société – ici, ceux de l’Angleterre du début du XIXe siècle. C'était le premier roman de P. D. James que je lisais et, même si je ne suis pas très roman policier, j'ai apprécié de retrouver mes personnages préférés sans toutefois être en extase devant le texte.
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