mardi 24 juin 2014

Les spornosexuels, gros biceps et petits QI

C'est toujours un peu excitant de découvrir un nouveau mot, une nouvelle tendance, un nouvel art de vivre... Aujourd'hui je vous invite dans l'univers des spornosexuels.

Spornosexules - Késako ? Pas des gens qui font du sport pour ne pas avoir de sexe - (Sport No Sexuels) mais bien un mélange de sport, de pornographique et de métrosexuel.

Pour rappel, le métrosexuel est un homme citadin soucieux de son apparence (tiré à quatre épingles) à l'exemple de David Beckham. Ce néologisme a été inventé en 1994 par Mark Simpson, journaliste britannique à The Independent.


C'est à ce même Mark Simpson que nous devons le néologisme spornosexuel qui nous occupe aujourd'hui. Comme quoi après vingt ans, ce mot et ces hommes-là sont passés de mode ou plutôt ont évolué. Il paraîtrait que le concept ait déjà effectué un galop d'essai en 2012... sans grand succès. Aura-t-il plus de chance cette fois ?

Notre spornosexuel est un mâle qui entretient de son corps et l'expose. Il veut être désiré pour son enveloppe - un peu comme de la piquette dans un superbe flacon - et pour y parvenir, il fait du sport; beaucoup de sport, il se pare de tatouages puis s'offre au regard grâce aux selfies postés sur les réseaux sociaux.


Le représentant de cette nouvelle race d'homme serait selon Mark Simson, le britannique Dan Osborne star de la télé réalité... mais onpeut aussi citer Lucas Locco le chanteur brésilien, Booba le rappeur, Justin Bieber, Mariano di Vaio le blogueur, et même Matt Pokora en version allégée.


So to make a long story short : muscles à gogo, tatouages, salle de sport et joli minois. Désolé mais je préfère une tête bien pleine qu'un torse bien fait. Il y en a heureusement pour tous les goûts !

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